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Livre deux : Une promenade hors du corps

Ceux d en haut livre deux luisa gallerini

Auteure : Luisa Gallerini

 

Résumé :

Revenir d’entre les morts, est-ce une malédiction ou une bénédiction ?

 

Second tome de la série Ceux d’en haut, ce thriller ésotérique au suspense glaçant vous guidera aux frontières du réel et de la mort, là où la folie guette, où les pouvoirs surnaturels font rage, où les secrets de famille éveillent de spectaculaires forces obscures, où un surprenant arbre généalogique cache de bien étranges racines, où l’illégalité rime avec danger, où d’effrayantes séances de spiritisme conduisent tout droit… dans une scandaleuse maison close.

 

Imaginez qu’un à un, vos sens se dérèglent : l’odorat, le goût, l’ouïe, la vue, le toucher. Imaginez que des pouvoirs surnaturels commencent à se manifester : intuition, télépathie, voyance. Imaginez, enfin, que vous êtes une honorable mère de famille dans le Paris bourgeois du 19e siècle. Croyez-vous que la société vous accueillera à bras ouverts ? Pour Adélaïde, tout commence par une botte de persil au marché. Puis c’est l’engrenage : exorcisme, asile psychiatrique… Où se terminera son cauchemar ?
En pleine crise d’éternité, Marie se sent terriblement seule. Existe-t-il d’autres immortels sur terre ? Qui sont « Ceux d’en haut » ? Se soumettra-t-elle aux lois, aux rituels de cette communauté de l’ombre ? Et pourquoi ses membres s’intéressent-ils tant aux expériences de mort imminente ?
Et vous, êtes-vous prêt à passer de l’autre côté ? celui des initiés ?

 

Mon avis :

Un très bon second tome, qui intègre un nouveau personnage haut en couleur et permet d’en découvrir beaucoup plus sur les immortels !

 

Encore une fois, deux époques se côtoient dans ce second volet de Ceux d’en haut. Nous retrouvons Marie dans son quotidien contemporain au cœur de notre belle capitale (attendez-vous à visiter quelques musées et jolies ruelles en sa compagnie !) ; et Adélaïde, une mère de famille bourgeoise, épouse d’un médecin pas si bien intentionné que ça, dans un Paris du 19e siècle.

 

La vie de Marie, en plein désœuvrement, se révèle assez vide jusqu’à ce qu’elle décide de farfouiller le darknet. Comme dans le premier tome, cette jeune femme aux innombrables ressources m’a épatée ! Bien que traversant une sacrée « crise d’éternité », elle ne se laisse pas abattre pour autant et est même déterminée à prouver à Luisa qu’elle peut s’en sortir toute seule… C’est sans compter un mystérieux hacker et les brigades du Big Bang Tree (l’Arbre Généalogique de tous les êtres humains). Vous l’aurez compris, j’ai accroché avec les idées de l’auteure, qui a tissé son intrigue grâce à notre technologie et aux problèmes qui en découlent (vol de notre vie privée, par exemple).

 

Mais j’ai encore plus aimé découvrir le Paris du 19e siècle et la vie d’Adélaïde. Cette jeune femme traversera de terribles épreuves, ignorant tout du « pourquoi » de son état, jusqu’à une belle rencontre, bouleversante. Elle tient bon malgré tout. Véritable cours d’histoire vivant, ces chapitres-ci m’ont tenu en haleine.

 

Et si le lien entre ces deux protagonistes a été assez aisé à repérer, les rebondissements de dernières minutes m’ont scotchée ! Attendez-vous à retrouver Luisa et Émilie d’une manière que vous ne pouvez imaginer !

 

J’ai regretté l’absence de romance, mais Luisa Gallerini, l’auteure, semble décidée à y remédier pour le troisième tome de cette série. C’est ce que la fin laisse supposer, du moins. Je l’espère vivement !

 

Toujours aussi ciselée et travaillée, la plume de l’écrivaine est un régal à lire. De l’humour, de l’émotion et des décors plantés avec brio… tout est au rendez-vous pour passer un excellent moment de lecture ! Foncez !

 

*Iléana*

 

Je remercie Luisa Gallerini et SimPlement Pro pour ce service-presse.

Une promenade hors du corps est disponible ici.

 

Extrait :

« — Cela signifie-t-il que notre corps n’est qu’une machine… imparfaite ?

— En doutiez-vous ? Fondamentalement, nos facultés sensorielles sont démesurées ; en revanche, malgré sa complexité apparente, notre corps est un outil bien rudimentaire. Au fond, ce n’est qu’un modeste tamis ne laissant passer qu’une chose à la fois, filtrant et déformant tout, sans distinction. Adélaïde, les capacités de l’âme sont infinies ! Désincarnée, je me sentais libre pour la première fois de ma vie ; enfin, de ma non-vie.

— Continuez, je vous en prie, murmurai-je.

Mon cœur battait à tout rompre. Une vision surdéveloppée, une ouïe si fine qu’elle pénétrait jusque dans les pensées des gens ; je ne connaissais que trop bien ces pouvoirs extraordinaires. »

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