Saison 1 : La citadelle interdite

Auteure : Léona Everhard

Résumé :

L’archipel de Valesphyr est une machine à broyer les rêves. Depuis des temps immémoriaux, celui-ci est divisé en deux castes. Sous le joug des Privilégiés, les Rebuts savent que toute forme de rébellion est vaine.

Sylwen, un jeune homme qui vit grâce à une prothèse robotisée, rêve de quitter la terre ferme pour parcourir les airs. Il pensait pouvoir devenir Navigateur en entrant dans la Marine Céleste, mais il échoue, rattrapé par son statut de Mâchefer.

Alors quand son ami Trévor suspecte le gouvernement de verser un pot-de-vin contre l’annulation du programme archéologique visant à rénover la Babylone Céleste, ils décident d’aller y jeter un œil.

Pourquoi le métal inspire-t-il la peur du gouvernement ? Quels dangers renferme la Citadelle ?

Une escapade à la découverte de leurs origines qui va bouleverser leurs vies et faire vaciller les fondements de leur société.

Une novella agréable à lire, qui traite de sujets douloureux, mais sans tomber dans le pathos.

L’écriture fluide et l’univers aérien de « Chroniques célestes » y sont sûrement pour beaucoup dans cette sensation de légèreté qui se dégage de ma lecture. Léona Everhard, grâce à des mots simples, mais sélectionnés, m’a ainsi embarquée à bord d’une île, puis d’une nef volante ! L’univers de ce monde se révèle riche, construit, en un mot : travaillé. L’auteur maitrise les tenants et aboutissants de ses intrigues, ça se sent et cela m’a permis de me laisser flotter au gré des courants et autre tourbillon aérien.

Les personnages font partie de ses adolescents confrontés à la dureté de la vie. Leur résilience est une véritable leçon d’existence, tout comme leur courage. Porteurs de divers handicaps, Léona Everhard, à travers eux, délivre des messages puissants, respectueux et bienveillants. Bref, le genre de pensées avec lesquelles je suis en phase ! Chacun à leur manière, ils sont attachants. Et pour ne rien gâcher, une romance toute douce semble bien poindre le bout de son nez…

La structure du récit alterne temps calmes et aventures ; réflexions et actions. L’auteure maitrise très bien cette fluctuation, qui rend la lecture d’autant plus agréable. Quelques coquilles se glissent néanmoins ici ou là, mais elles restent suffisamment peu nombreuses pour ne pas gêner la lecture.

À quand la saison 2 ?

*Iléana*

Je remercie Léona Everhard et SimPlement Pro pour ce service-presse.

Pas d'extrait, ma liseuse a planté ! (Oui, ça arrive de plus en plus souvent...)