Que dire de ce deuxième volume d’une terrible vengeance ? Ainsi nous retrouvons Le Comte de Monte-Cristo plus imposant, impressionnant et impitoyable envers ses ennemis. Nous suivons un à un les personnages tomber et le remord s’installer. La victoire semble avoir un goût amer et cette histoire nous fait réfléchir sur ce désir, parfois violent, de la vengeance.
Que dire à part que j’ai tremblé pour les personnages et que je les ai aussi haïs ? Mercédès est l’une des premières à m’avoir énormément déçue. Sa façon de voir les choses est aberrante. Mais heureusement, il y avait Maximilien et Valentine ainsi qu’Haydée pour nous faire rêver. Dans ce tome, les actions s’enchaînent, il est difficile de lâcher le livre.
Plusieurs fois, j’ai grincé des dents tant je craignais pour la vie de certains personnages. Quelques scènes m’ont marquée et le destin de M. de Villefort m’a fait mal au cœur.
Enfin l’on prend en pitié ces ennemis qui ont fait tant de mal à notre cher Edmond Dantès, et pourtant chacun d’entre eux méritait une punition. Alexandre Dumas nous fait aussi réfléchir sur ce rapport à l’argent et tout ce que ça implique.
En bref, j’ai adoré, c’est une belle morale sur la vie qui nous amène à réfléchir.
*Mylène*