Je vais décoincer mon boss

41f50sdt1zl

 

Autrice : AD Martel

 

Résumé :

Imaginez : un soir, dans l’hôtel où vous travaillez exceptionnellement, vous retrouvez un homme nu et inconscient dans une mise en scène scabreuse. Sauf qu’il s’agit de votre patron et que des journalistes n’attendent qu’une chose : décrocher le prochain scandale à son sujet !

Que faites-vous ?

A. Vous repartez comme si de rien n’était ;
B. Vous appelez une ambulance ;
C. Vous vendez le scoop au plus offrant ;
D. Vous comptez sur les muscles que vous n’avez pas pour le changer de chambre, afin que personne ne tombe sur lui.

Spoiler alert : aucune de ces propositions n’est une bonne idée.

Moi qui rêvais d’une vie peinarde, croiser Sung-Jae Park, alias le beau, mystérieux, sombre et, surtout, très coincé PDG d’Electronic Dreams, complique tout.

Quelque chose me dit que je ne suis pas au bout de mes surprises avec lui.

Remarque, lui non plus…

 

Mon avis :

Je ne suis pas trop romance à 100 %, même si j’aime les histoires d’amour lorsqu’elles s’entremêlent avec une autre intrigue. Malgré cela, j’en lis de temps en temps, notamment pour la psychologie des personnages. J’ai été servie avec « Je vais décoincer mon boss » !

 

 

Sung-Jae et Luna sont modelés comme vous et moi, avec leurs défauts et leurs côtés attachants, leur passé qui influe inévitablement sur leur présent… J’aurais aimé en savoir davantage sur la famille de Sung-Jae, peut-être un peu survolée à mon goût, mais c’est un détail. Cet ensemble forme des protagonistes plus vrais que nature et offre une profondeur certaine au roman. L’histoire d’amour s’en ressent : elle est saine, prend son temps et est réaliste. Bref, on s’y plonge, on y croit, et comme ce n’est pas « tout beau tout rose », on vit avec les personnages !

 

 

D’ailleurs, le suspens quant à leurs conditions personnelles est bien mené et fait son boulot « d’accroche ». Car s’il n’y a pas réellement de retournements de situation, des rebondissements et des révélations qui tombent à point nommé permettent de garder un rythme dynamique.

 

 

La plume fluide d’AD Martel jour évidemment un grand rôle dans cette impression de tourner les pages sans s’en apercevoir. Les descriptions, tant des émotions que des décors, sont justes. Le vocabulaire et les tournures de phrases sont travaillés pour proposer une lecture très agréable et sans prise de tête.

 

Moment de détente garanti !

 

 

*Iléana*

 

 

Je remercie AD Martel pour ce service presse.

Pour acheter « Je vais décoincer mon boss », suivez le lien.

 

Extrait :

« Pas que son visage exprime ses émotions, mais je commence à savoir lire en lui. A-t-il déjà connu ce genre de dispute ? Nous ne sommes pas assez proches pour que je puisse le lui demander, mais je tiens quand même à ce qu’il sache la vérité à mon sujet.

— Ce qu’a dit mon père… est vrai.

J’ai honte, mais je lui dois la vérité. Sa tête s’est tournée vers moi, je le vois dans ma vision périphérique. Pour ma part, je préfère fixer un caillou au sol.

— J’ai beau ne pas le faire exprès, j’attire sans le vouloir des personnes dangereuses. Mes vêtements, ma façon d’être… Tout ça ne me procure que des ennuis. Je souris aux mauvaises personnes, je suis gentille lorsque je devrais plutôt me montrer méfiante… J’en suis consciente, mais c’est plus fort que moi. Je n’arrive pas…

Je m’interromps, bloquée par l’émotion. Monsieur Park ne répond pas. »

Ajouter un commentaire

Anti-spam