Tome 2 : Te retrouver

Nos amours impossibles tome 2 ninon amey

Auteure : Ninon Amey

 

Résumé :

Deux ans et demi se sont écoulés depuis que Stanislas est rentré à Paris. Accaparé par ses études et étroitement surveillé par son père, il essaie tant bien que mal d’occulter le passé et les sentiments qu’il éprouvait pour Sofia. Mais le jour où il apprend que la maison secondaire va être vendue et que Mama prend sa retraite, c’est un électrochoc. Stanislas n’a désormais plus qu’une idée en tête : réparer ses erreurs et obtenir le pardon des deux femmes les plus importantes de sa vie. Seulement voilà, les choses ne sont plus telles qu’il les a laissées. Sofia a déménagé et Mama refuse de lui transmettre sa nouvelle adresse.

Stanislas parviendra-t-il à retrouver celle qui n’a jamais quitté ses pensées ? Le cas échéant, la jeune femme lui pardonnera-t-elle de n’avoir jamais tenu sa promesse ?

La vie offre parfois une seconde chance. Stan et Sofia sauront-ils la saisir ?

 

Mon avis :

Je l’attendais avec impatience, ce second tome de Nos amours impossibles ! Et si le coup de cœur n’est pas au rendez-vous, il reste un bon roman feel-good qui se lit vite, idéal pour se vider la tête.

 

Les chapitres, une fois de plus très courts, contribuent à cette impression d’avaler les pages sans s’en apercevoir. La plume de Ninon Amey, simple, efficace et bourrée d’émotions, n’y est pas étrangère non plus !

 

J’ai donc retrouvé avec plaisir Stan et Sofia. Quelle surprise que ce soit deux ans et demi plus tard ! Les jeunes adultes ont mûri, Sofia, en particulier, s’affirme. C’est qu’elle a souffert, depuis ses dix-huit ans ! Les épreuves de la vie l’ont endurcie, tout comme le silence de Stan… Forcément, la jeune fille s’est promis de se protéger de l’amour, mais lorsque Cupidon décoche sa flèche, les barrières ne résistent pas, c’est bien connu ! C’est ainsi que, dans ce second volet, nous assistons à la naissance d’un couple grâce au pardon. Je n’ai pas retrouvé la passion du premier tome (à mon grand regret), mais Ninon Amey a su garder le côté réaliste des relations : Stan a blessé Sofia, il est normal qu’elle ne lui retombe pas dans les bras à la moindre œillade.

 

Stan n’est pas en reste non plus côté évolution. S’il a suivi le courant de la vie ces deux dernières années, certains actes de son père et certaines rencontres vont provoquer en lui des électrochocs. Le jeune est moins victime, il devient acteur de sa vie et ça, ça fait du bien !

 

Côté rythme du récit, les temps calmes alternent avec des retournements de situation bien vus et maîtrisés. Certains évènements (notamment avec la petite sœur) sont prévisibles, mais ils restent peu nombreux : la lecture n’en est pas gâchée pour autant.

 

La danse et la peinture, moins présents, ou du moins, moins poignants que dans le premier tome, servent néanmoins de fil conducteur appréciable. Le clin d’œil à la couverture est bien trouvé !

 

Cette duologie est une belle découverte pour moi, de celle qui se dévore en un week-end sous la couette !

 

*Iléana*

 

Je remercie Ninon Amey et SimPlement Pro pour ce service presse.

Pour acheter Te retrouver, suivez le lien.

 

Extrait :

« Les semaines défilent, j’ai l’impression de flotter dans une espèce de brouillard épais. Mama est partie, elle s’est envolée pour son île ensoleillée, notre maison secondaire s’est vendue en quelques jours, et je peine toujours à intégrer que Sofia est en couple avec un autre que moi. Qu’elle a tiré un trait sur notre histoire. Pour lutter contre ce désespoir qui m’étreint et dans lequel je me noie à petit feu, je passe beaucoup de temps à peindre dans la chambre de Cléo. Cette dernière y est très peu présente, car Alban et elle sont devenus inséparables, depuis notre retour de week-end. Je suis très heureux pour eux, mais je ressens un vide immense. J’aimerais avoir quelqu’un à qui me confier. Je me sens seul et abandonné de tous. Quand de telles idées me traversent l’esprit, je me fustige intérieurement. Ne suis-je pas en train de récolter ce que j’ai semé ? Je mérite cette solitude. Elle est la conséquence de mon égocentrisme. Je dois purger cette nouvelle peine, qui je me suis infligée à moi-même. »

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